Collectif Corridor

Destiné à épanouir des projets entrelaçant différentes disciplines artistiques, Collectif Corridor, fondé par Anne Poirier-Busson (metteuse en scène) et Glysleïn Lefever (metteuse en scène et chorégraphe), propose des créations contemporaines où les mots, le mouvement et l’esthétique partagent la scène dans un même élan qui fait sens.

Première réalisation du collectif : Music-Hall de Jean-Luc Lagarce, au Studio-Théâtre de la Comédie-Française en 2021.

Les membres de Collectif Coridor

“Faire danser les mots,

parler les corps,

virevolter les pensées.”

Presse

au sujet de music-hall

 

« Glysleïn Lefever orchestre avec élégance la pièce joyeusement funèbre de Jean-Luc Lagarce. Le trio formé par Françoise Gillard, Gaël Kamilindi et Yoann Gasiorowski brille par sa grâce et sa sensualité. Un rendez-vous à ne pas manquer au Studio de la Comédie-Française.»

Les Échos

« Avec intelligence et doigté, la chorégraphe et metteuse en scène Glysleïn Lefever donne à cette pièce de Jean-Luc Lagarce, aussi troublante que sublime, toute l’épaisseur qui lui revient. François Gillard, Gaël Kamilindi et Yoann Gasiorowski donnent la force et la malice nécessaires. Dans ce triangle amoureux, et artistique, à sens ô combien multiples, la comédienne s’impose en maîtresse-femme, à la fois dévorante et dévorée, dominatrice et soumise, attachante et haïssable.»

Scenesweb.fr

« Trois comédien·nes déclinant·es évoquent les joies et désillusions de leur métier d’amuseur·euses. Glysleïn Lefever accentue l’étrangeté de cette pièce de Jean-Luc Lagarce, en optant pour un traitement lynchien qui entortille les sens. Une réussite. »

Les Inrockuptibles

« La metteuse en scène-chorégraphe, Glysleïn Lefever, s’empare avec brio de la langue ciselée, vertigineuse, de Lagarce, aux multiples variations, dont la chorégraphie subtile et espiègle des corps, magnifie à merveille la légèreté et la dérisoire vacuité de l’exercice de la scène où se mêlent à l’envi le rêve et la réalité.»

publik’art

« Dans un décor irréel – une scène encadrée de simples voilages blancs –, trois silhouettes sculpturales se livrent à une drôle de chorégraphie qui arrache des rires à la salle.»

Le point

«La mise en scène, tout en finesse, de Glysleïn Lefever, décline avec douceur, et humour parfois, cette tristesse qui refuse de se résigner, à l’image des courtes chorégraphies où les mains dessinent des soleils invisibles. Joliment accompagnée par Gaël Kamilindi et Yoann Gasiorowski, Françoise Gillard pétille littéralement dans ce rôle complexe et magnifique.»

La Croix